Théodora Barat
Pensionnaire de la Villa Médicis à Rome en 2021-2022, Théodora Barat développe actuellement une thèse de recherche-création au sein du programme doctoral RADIAN (ésam Caen/Cherbourg, École supérieure d’art et design Le Havre-Rouen, École nationale supérieure d’architecture de Normandie, école doctorale 558 au sein de la ComUE Normandie-Université) sur l’empreinte de la recherche nucléaire dans le Sud-Ouest des États-Unis. Elle mène une pratique pluridisciplinaire allant du film à la sculpture en passant par la photographie. Elle s’intéresse aux environnements en mutation, à ces moments ultimes où le paysage artificiel devient signe. Elle y ausculte les emblèmes de la modernité, dissèque ses chimères afin d’interroger notre devenir. Son travail a été présenté au Centre Pompidou, au Cneai, à Nuit Blanche (Paris), à la Collection Yvon Lambert (Avignon), à la Friche Belle de Mai (Marseille), au K11 – Musea (Hong Kong), à l’Emily Harvey Foundation et à l’Elizabeth Foundation for the Arts (New York), au CAC Vilnius (Lituanie), ainsi que dans de nombreux festivals internationaux.